Pédagogie
1
Pédagogie La pédagogie est, étymologiquement, l'action de "conduire les enfants", du grec PAIDAGÔGIA. C'est donc l'art d'éduquer. Le terme désigne les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre un savoir quelconque. Faire preuve de pédagogie signifie enseigner un savoir ou une expérience par des méthodes adaptées à un individu ou un groupe d'individus.
Définitions
Le terme de « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔs/), « l'enfant », et ἄγω ( conduire, mener, accompagner, élever ». Dans l'Antiquité, le pédagogue était un esclave qui accomp l'école, lui portait ses affaires, mais aussi lui faisait réciter ses leçons et faire ses devoirs. [1] « Pédago remontant à 1495 d'après le dictionnaire Le Robert. L'Académie française l'admet depuis 1762.
Ferdinand Buisson, qui fut inspecteur général de l'instruction publique, donne cette définit l'éducation, tant physique qu'intellectuelle et morale" ( Dictionnaire de pédagogie, 1887, col. 2238 a).
Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10). "L'éducation est l'action générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de s développer chez l'enfant un certain nombre d'états physiques, intellectuels et mentaux que réclame société politique dans son ensemble et le milieu social auquel il est particulièrement destiné" (articl F. Buisson, Nouveau dictionnaire de pédagogie, Paris, Hachette, 1911, p. 532. Reproduit dans "L'é nature, son rôle", in Éducation et sociologie, PUF, coll. "Quadrige", p. 51).[3] [2] Pour É. Durkheim - e fera fortune - "la pédagogie est une théorie pratique", comme la médecine ou la politique. La pédago une théorie et une pratique : une théorie ayant pour objet de réfléchir sur les systèmes et sur les pro en vue d'en apprécier la valeur et, par là, d'éclairer et de diriger l'action des éducateurs.
Françoise Clerc : la pédagogie est "l'ensemble des savoirs scientifiques et pratiques, des compé et sociales qui sont mobilisées pour concevoir et mettre en oeuvre des stratégies d'enseignemen Franc Morandi : la pédagogie est "étude et mise en oeuvre des conditions d'apprendre". [4]
Quelles différences entre pédagogie et didactique ? "'Pédagogique' réfère plus à l'enfant et 'didactique l'enseignement, en raison de leurs étymologies respectives." [5] D'autre part, la pédagogie est génér didactique est spécifique, elle concerne telle ou telle discipline ("didactique des mathématiques", "d français langue étrangère"...) : la didactique porte sur l'enseignement d'un contenu particulier. "La l'hypothèse que la spécificité des contenus est déterminante dans l'appropriation des connaissance pédagogie porte son attention sur les relations entre l'enseignant et les élèves, et entre les élèves eu Selon Marguerite Altet[7] , "L'enseignement couvre donc deux champs de pratiques :
1. celui de la gestion de l'information, de la structuration du savoir par l'enseignant et de le l'élève, domaine de la Didactique
2. celui du traitement et de la transformation de l'Information en Savoir par la pratique rela de l'enseignant en classe, par l'organisation de situations pédagogiques pour l'apprenant, c
Pédagogie
2
Pédagogie."
Distinctions
Dans l'histoire de la pédagogie, il faudrait distinguer méthodes, systèmes, mouvements, dém modèles, approches, pratiques... Le vocabulaire, néanmoins, n'est pas fixé.
• les démarches pédagogiques sont des attitudes méthodologiques et progressives de pensée insista phases, les moments d'un travail, soit sur les formes, les aspects d'un objet de recherche, en m d'enseignement. Par ex., l'approche ou démarche expérimentale se déroule en au moins trois p hypothèse, contrôle)[8] et se concentre sur au moins deux points (la reproduction du phénomèn des variables). On peut citer les démarches comparative, déductive, historique, scientifique, tr complexe[9] , innovante, systémique[10] ... que l'on trouve autant chez les élèves que chez les p pédagogues. • les dispositifs pédagogiques [11] sont des structures administratives, des agencements au sein du s éducatif, en lieux, personnels, finances, règlements, matériels. Comme exemples, on peut citer l'organisation de l'école primaire en trois cycles (loi Lionel Jospin, 1989), "le socle commun des (Gilles de Robien, 2006), les stages de remise à niveau (Xavier Darcos, 2008), la prévention du informatique (Christine Albanel, 2009), le dispositif d'évaluation des acquis des élèves en C.E.1 • les doctrines pédagogiques[12] [13] sont de grands ensembles théoriques, complexes, mêlant théori procédures. Ce sont des philosophies, des visions du monde, des idéologies. Elles supposent, c identifiées, une psychologie de l'enfant, une philosophie de l'éducation, une sociologie de l'inst universitaire. Les principes comptent. Dès La République de Platon on trouve des doctrines. O comme "doctrines pédagogiques" la pédagogie traditionnelle, la pédagogie négative (Jean-Jacq ou non directive (Carl Rogers, 1969)[15] , la pédagogie soviétique (A. Makarenko, 1917), l'Éduc (dont Freinet), la pédagogie Steiner-Waldorf. • les méthodes pédagogiques consistent en règles et en procédés pour mettre en oeuvre un enseign ou un apprentissage de l'élève, de façon théorique ou pratique.[16] On s'en sert pour gérer, exp évaluer. Les réalisations comptent plus que les principes. En ce sens, la maïeutique de Socrate interrogative"), la pédagogie de projet (project-based learning), la pédagogie de contrat, la péd différenciée[17] , l'enseignement programmé (Skinner, 1958), la pédagogie par objectifs, la péd situation-problème (problem-based learning), l'enseignement assisté par ordinateur[18] sont de pédagogiques. • les modèles pédagogiques [19] sont des types, des références, des idéaux, des principes utilisés da pédagogique, plutôt que des professeurs idéalisés ou des recettes d'enseignement toutes faites utilisées.[20] Marcel Lesne (1977) cite : transmission, incitation, appropriation. Jean-Pierre Asto empreinte, conditionnement, construction. Franc Morandi (1997) : tradition, pédagogies active différenciation, autonomisation. Selon Labédie et Amossé : transmission (pédagogie traditionn stimulus-réponse (pédagogie béhavioriste), construction (pédagogie active), socio-construction • les mouvements pédagogiques sont des "organisations militantes, inspirées par une idéologie éduc novatrice, regroupant des enseignants mus par le même idéal".[23] Ex. : le Groupe français d'éd (1921, Paul Langevin et Henri Wallon)[24] , l'Institut coopératif pour l'école moderne (1948, ins • les notions pédagogiques [25] sont des concepts, idées, représentations, des objets abstraits de con Exemples : apprentissage, auto-formation, compétence, écriture, éducabilité, entraînement, im métacognition[26] , règlement intérieur, rythmes scolaires. Organisées, les notions forment des • les pratiques pédagogiques [27] concernent les activités volontaires à but éducatif. Elles couvrent un large : les consignes, les tâches et les activités, les interactions, les rituels et routines, les notation les stimulations, les supports d'activité (comme l'usage de l'ardoise, le recours à l'ordinateur, l'uti voix)...
Pédagogie
3
• les styles pédagogiques (ou profils) sont les attitudes du maître qui enseigne. Jerome Bruner, le p 1956), y a prêté attention, chez l'élève.[28] Il y a les pédagogies formelles (structurées) ou infor directives (autoritaires) ou non directives (démocratiques ou permissives)... On distingue habit transmissif (le maître dispense des savoirs), appropriatif (le maître aide l'élève à construire son (l'élève reproduit ou imite un modèle, ou bien il élabore une représentation formelle). Marguer ces "styles didactiques" : expositif (information, organisation, gestion), interrogatif (interrogati incitatif (stimulation), animateur (guidance), guide (guidance, régulation), mixte-flexible. [29] Au d'enseignement des maîtres sont parallèles les styles d'apprentissage des élèves : visuel ou aud kinesthésique, réfléchi ou impulsif... • les théories pédagogiques [30] forment chacune un ensemble cohérent de notions. Une théorie péd supposée expliquer ce qu'est l'éducation, l'apprentissage, l'instruction, l'élève, l'enseignant, le exemple, la théorie constructiviste de Piaget[31] avance de nombreuses notions : stade, assimil accommodation, invariance des quantités physiques... (mais Piaget refuse d'être pris pour un p psychologue). Parmi les théories pédagogiques on trouve : le traditionnalisme (Étienne Gilson, Finkielkraut, 1988), le marxisme soviétique (A. Makarenko, 1917), le béhaviorisme (John B. Wa constructivisme (J. Piaget, 1923), le socio-constructivisme (L. Vygotski, 1934), le spiritualisme Maslow, Krishnamurti), la théorie de la reproduction de Pierre Bourdieu (1970) [32] , le cognitiv Gagné, 1976)[33] [34]... Une théorie combine des notions, et si des théories se combinent elles doctrine. Mais, en réalité, les choses sont moins nettes.
Histoire de la pédagogie Les précurseurs
L'humanisme de la Renaissance voit naître quelques précurseurs de la pédagogie. En France Rabel idéal du dépassement de soi. Il décrit à la fin de Gargantua (1534) une abbaye utopique, l'abbaye de Rabelais, moine de son état, connaît bien la vie monacale, et dans la description de cette abbaye fict idée d'une abbaye humaniste où de beaux jeunes gens, des deux sexes, viendraient étudier dans un L'accent est alors mis sur l'aspect moral, plutôt que religieux. On réaffirme l'importance de l'éducat
À la même époque (1547), Ignace de Loyola donne à l'ordre qu'il fonde une vocation d'enseignemen nouveau programme d'enseignement, le Ratio Studiorum. Les collèges qui seront ouverts par les Jé France (collège de Clermont à Paris, collège de La Flèche, où Descartes fera ses études, collège de M Billom en Auvergne, etc..), puis progressivement dans toute l'Europe, seront le modèle de l'enseign des lycées du XIXe siècle.[35] Pour le tchèque Comenius, la pédagogie doit être utile et pour tous. [36]
Au XVIIe siècle, Jean-Baptiste de La Salle fonde un ordre laïc pour enseigner gratuitement d village. Il rédige pour les maîtres un traité de civilité à l'usage des enfants des deux sexes, et un la Conduite des écoles chrétiennes, qui servira de base à l'organisation de l'enseignement primaire jusqu'au début du XXe siècle.
Au XVIIIe siècle, on revient contre l'enfermement. On veut former les jeunes au monde contempo La doctrine pédagogique de Jean-Jacques Rousseau
En 1762, Rousseau écrit Émile ou De l'éducation. Le sujet en est « l'art de former les hommes » (pré énonce dans cette œuvre son principe : l'enfant naît bon et c'est la société qui le corrompt. Selon lui, que l'enfant ait envie d'apprendre et qu'il ait connaissance d'un métier manuel, chose très rare chez époque. L'ouvrage est condamné par le Parlement, en particulier à cause de la "Profession de foi du savoyard". Ce programme pédagogique idéal offre une vision novatrice de l'enfance.
Pédagogie
4
En Suisse, Johann Heinrich Pestalozzi (1746-1827) s'inspire de ces théories pour fonder son école. I l'enfant dans la vie réelle, mais en la différenciant suivant les classes sociales. Pour lui, la famille es milieu éducatif.[37] e
XIX siècle
En Allemagne : Paul Natorp et Georg Kerschensteiner. Chaque individu doit se former à une fonc communauté doit développer la solidarité, l'instruction civique le respect de l'autorité, et le senti
En Angleterre : Robert Owen. Le choix des professeurs se fait sur leur capacité à éveiller la cu leur patience, leur amour de l'enfant. [38] e
XX siècle
Au XXe siècle, la notion de pédagogie change. La pédagogie devient une pratique, un ensemble de m pédagogues s'efforcent d'utiliser des éléments de psychologie, c'est notamment l'éclosion du mouve l'Éducation nouvelle qui considère l'éducation comme un acte global de construction de la personne une simple retransmission de connaissances. En Europe occidentale, on prend en compte l'enfant. En URSS, c'est la dimension sociale.
Aux États-Unis, avec John Dewey, elle est pragmatique, expérimentale, volontariste et socialisante 1900, à l'origine de l'Éducation nouvelle (pédagogie active, écoute des besoins de l'enfant, projet, a faisant...). La médecine vient aider la pédagogie. Médecin elle-même, Maria Montessori, à Rome, 1907, bambini, crée la méthode portant son nom pour influencer la psychologie sensori-motrice des écoles maternelles.
En France, dès 1918, Adolphe Ferrière, Célestin Freinet, en Belgique Ovide Decroly, instaurent l'Éd nouvelle, inspirée de John Dewey, où l'enfant est actif, social. L'inspecteur Roger Cousinet propose " travail libre par groupes" (1943), effectif : observations, collections, travaux manuels, classement d acquises ; il cherche à établir un climat de confiance et de compréhension réciproque. [39]
De nos jours, le sens de pédagogie renvoie davantage à la manière dont va se faire la formation d'un contenu proprement dit de cette formation. Il s'agit tantôt des processus mis en œuvre dans l'acquis connaissances, tantôt de l'attitude et de l'action du pédagogue, de celui qui accompagne. C'est à pa conceptions que se comprennent et se classent les différents courants de pédagogies. En ce sens, il techniques mises en œuvre dans une action formative ou d'enseignement. Le mot technique englob le pédagogue fait de son premier outil : lui-même.
À partir de là, les principales voies qui s'ouvrent à l'élaboration d'une pédagogie sont de distinguer l instruits à un élève des savoirs construits par une personne. Les savoirs instruits sont reliés à la noti d'enseignement, alors que les savoirs construits font appel à l'autonomie de l'enfant. En ce sens, la p pas uniquement l'œuvre de l'enseignant. Elle serait plutôt l'ensemble des moyens – consciemment m non – de la communauté éducative - les co-éducateurs. Ainsi, la famille, l'école, les centres de loisirs autant de sphères où l'enfant fréquente des « pédagogues ». C'est le débat qu'a lancé l'équipe des « l'éducation », à Perpignan, en octobre 2003.
Pédagogie
5
Différentes doctrines ou méthodes pédagogiques (en Occident)
À la limite, chaque pédagogue a sa pédagogie. Mais, selon Marguerite Altet, on classe habituelleme pédagogies en trois ou quatre types[40] , avec toujours les mêmes cinq éléments : l'apprenant, l'ense la communication, la situation, le tout ordonné vers une finalité (instruire ou éduquer, former... du c apprendre ou se socialiser, s'épanouir, s'autonomiser... du côté de l'élève).
1. les pédagogies traditionnelles. Elles sont centrées sur les savoirs constitués à transmettre et sur (magistro-centrisme), qui enseigne. Elles fonctionnent à la transmission de contenus déjà struc l'empreinte, assimilation passive. On attend de l'élève "réponses, performances, savoirs". On a pédagogies défendues par les congrégations religieuses (les jésuites, etc.) et les pédagogues tr (Comenius, Alain[41] , etc.).
2. les pédagogies actives. Elles sont centrées sur l'élève comme enfant (puéro-centrisme), un élèv "construit" son savoir, s'approprie personnellement les connaissances et les procédures. C'est pédagogique de l'Éducation nouvelle, avec la pédagogie fonctionnelle de John Dewey (1897) nouvelle d'Adolphe Ferrière (1899)[43] , l'école nouvelle d'Ovide Decroly (1921)[44] , la pédagog de Célestin Freinet (1924), la pédagogie de la liberté de Roger Cousinet (1959) [45] .
3. les pédagogies technologiques. Elles sont centrées sur l'élève en tant qu'apprenant et sur les mo techniques, opératoires, d'acquérir effectivement des savoir, savoir-faire, savoir-être (techno-c temps voulu. Il s'agit de rendre l'élève actif en lui proposant un savoir programmé à découvrir o reconstruire. On obtient la pédagogie par objectifs (1935) qui articule objectif-méthode-évalua dans une optique de rationalisation et d'efficacité. On trouve également l'enseignement progra Skinner (1958) à bases de récompenses, de "conditionnement opérant".
4. les pédagogies socialisées. Elles sont centrées sur un enfant membre de la communauté sociale social (socio-centrisme). Elles entendent former un homme social, éduquer socialement. Ici fig pédagogie marxiste de A. Makarenko (1917), la pédagogie institutionnelle de Fernand Oury (19 "pédagogie progressiste" de G. Snyders (1976)[47] . La pédagogie traditionnelle (1657)
« Comenius (en tchèque Jan Komensky) passe pour être le fondateur, le 'père' de la pédagogie de la m Il composa sa Didactica Magna (Grande Didactique) entre 1628-1632, avec une édition complète e promet « un art universel de tout enseigner à tous ». Il avance diverses recommandations : enseigne âge, procéder « du général au particulier et du facile au plus difficile », « placer toute chose sous les apparaître l'utilité immédiate, suivre toujours la même méthode », « régler son enseignement sur le élèves », agir sur « le savoir », « le faire » et « le parler », rédiger des manuels correspondant aux ma dans chaque classe, n'enseigner que deux heures le matin (science ou art privilégié) et deux l'aprèspuis exercices de style et de diction, travaux manuels) (le reste du temps : exercices physiques, trav préparation des devoirs), sanctionner par des examens publics...
La pédagogie traditionnelle est celle du modèle transmissif. Sur le triangle pédagogique de Jean Houssay situe du côté du savoir, elle privilégie ainsi la démarche didactique de l'enseignant.
Le terme de pédagogie traditionnelle est employé par ceux qui souhaitent s'en démarquer. On o pédagogie traditionnelle à l'Éducation nouvelle ou moderne.
La pédagogie traditionnelle est celle du savoir, du modèle, de l'autorité, de l'effort, de l'indiv sanction.
Pédagogie
6
La pédagogie négative (1762) et libertaire (1919)
"L'éducation négative" est prônée par Jean-Jacques Rousseau[50] dans son roman pédagogique L'Ém Rousseau recommande de laisser « agir la nature » (p. 179, 158), il est pour le développement spont influences sociales). 2) L'enfant doit découvrir que les objets de la nature obéissent à la nécessité, c' par les choses (plutôt que par les livres). 3) Il faut privilégier le développement des sens (avant celui 207, 816) et ne pas hâter les initiations (p. 271, 889). 4) Dans cette éducation, il y a absence de punit remplacer par des sanctions naturelles). Si Émile casse un carreau de la fenêtre de sa chambre, on n aura froid ! 5) Rousseau admet une certaine permissivité et oisivité : « gouverner sans préceptes et t faisant rien » (p. 198). 6) Surtout, l'éducation négative assure la protection contre le vice plutôt que
"Je ne redirai jamais assez que la bonne éducation doit être négative. Empêchez les vices de fait pour la vertu"[52] .
Rousseau a pour prédécesseur Socrate (la maïeutique)[53] . Montaigne aussi est pour la l'endoctrinement, le bourrage de crâne[54] .
En 1919 commence en Allemagne l'expérience des écoles libertaires de Hambourg, dans le quartier directeur, Heinrich Siemss, recommande l'abolition du rapport autoritaire entre maître et élève, le d facilité pour sortir de l'école en "promenades scolaires", le matériel scolaire abondant et spécialisé. Neill (1921) favorise liberté et auto-éducation[56] . Carl Rogers se fait le théoricien de la non-directiv La pédagogie Montessori (1907)
La pédagogie Montessori, créée en 1907 par Maria Montessori, est une méthode d'éducation dite ouverte, par rapport aux méthodes dites fermées ou traditionnelles, telle que l'enseignement mutuel. Sa pédagogie repose sur l'observation de l'enfant qui amène l'éducateur à poser les gestes appropriés pour favoriser son apprentissage.[58] La pédagogie scolaire soviétique selon A. Makarenko (1917)
Matériel Montessori
Anton Semionovitch Makarenko, instituteur en 1905, propose, dès 1917, une pédagogie conforme à la "nouvelle société socialiste" de l'U.R.S.S. Il fonde en 1920 une co jeunes où il met en oeuvre des pratiques pédagogiques ordonnées à la recréation chez l'individu de positives et fondées sur un principe d'éducation institutionnelle. Un moment limogé, puis réhabilité ses méthodes pédagogiques diffusées dans toute l'Union soviétique. Il est en accord avec l'idéologie la Révolution soviétique : formation d'un homme nouveau, primauté du collectif sur l'individu, organ travail productif. Il a écrit en 1935 un Poème pédagogique où il décrit l'histoire d'une colonie d'enfa vagabonds[59] .
Pédagogie
7
La pédagogie de projet (1918)
Historiquement, la pédagogie de projet (project-based learning) remonte à William Heard Kilpatrick, e un article intitulé The Project Method.[60] Mais l'idée revient au philosophe John Dewey, vers 1900. La pédagogie de projet fait passer des apprentissages à travers la réalisation d'une production concrète.
Le projet peut être individuel (exposé, maquette) ou collectif (organisation d'une fête, voyage, spect « entreprise qui permet à un collectif d'élèves de réaliser une production concrète, socialisable, en i savoirs nouveaux[61] . » La pédagogie active (1918), dont Freinet (1924)
La pédagogie active a pour objectif de rendre l'apprenant acteur de ses apprentissages, afin qu'il co savoirs à travers des situations de recherche. Pour Piaget, théoricien du constructivisme, « on ne co qu’en agissant sur lui et en le transformant »[62] .
La pédagogie active se réfère historiquement à Adolphe Ferrière qui, dès 1918, est parmi les premie l'appellation "école active". En 1921, il crée la Ligue internationale pour l'éducation nouvelle. La pé est une des bases du courant d'Éducation nouvelle.
Freinet, dès 1924, est un autre acteur important de l'évolution des pratiques pédagogiques français "promenades scolaires" (1922), "la méthode nouvelle d'éducation populaire basée sur l'expression l l'imprimerie à l'école" (1924)[63] , la coopérative scolaire (1924), la correspondance inter-scolaire (1 publication de textes et de dessins d'enfants (1927), le dessin libre (1931), les fichiers auto-correctif tâtonnement expérimental (1943)[64] , etc. Freinet est engagé politiquement (pacifiste, marxiste, lib est membre du parti communiste (de 1926 à 1948) ; ce militantisme a retardé sa reconnaissance off 1991, quand l'État achète son école de Vence. Il écrit en 1964 dans ses invariants pédagogiques
"La voie normale de l’acquisition n’est nullement l’observation, l’explication et la démonst essentiel de l’École, mais le tâtonnement expérimental, démarche naturelle et universelle."
"Les acquisitions ne se font pas comme l’on croit parfois, par l’étude des règles et des lois, mais l’expérience. Étudier d’abord ces règles et ces lois, en français, en art, en mathématiques, en sc placer la charrue devant les bœufs." Aujourd'hui, on a tendance à classer abusivement sous l'expression méthodes actives toutes les impliquent réellement l'élève par des exercices ou des mises en situation. La pédagogie Steiner-Waldorf (1919)
La pédagogie Steiner-Waldorf, basée sur les théories éducatives de Rudolf Steiner (1861-1925), est une des applications les plus connues de l'anthroposophie fondée par celui-ci. Cette pédagogie est pratiquée dans les écoles Steiner, écoles privées qui comptent environ 1 000 sites dans le monde, majoritairement en Amérique du Nord et en Europe, dont environ 200 en Allemagne. Elles sont aussi connues sous le nom d'écoles Waldorf. Ces écoles cherchent à équilibrer les matières intellectuelles avec les matières École Waldorf près de Trèves (Allemagne) artistiques et manuelles en suivant l'évolution de l'enfant.
Pédagogie
8
La pédagogie de groupe (1920)
On donne Roger Cousinet[65] pour père de la pédagogie de groupe vers 1920, mais il faudrait remon Dewey, vers 1900. Un Américain, Kurt Lewin, en 1939[66] , a bien étudié la dynamique de groupe : la dominations et soumissions, les contagions mentales, le conformisme, la sympathie ou antipathie, l' leaders, les violences exprimées ou latentes contre le leader ou entre membres, les capacités du gro autour d'un but ou d'une tâche, les interactions multiples, les changements, la distribution des rôles majorité/minorité, etc. Les groupes résultent soit de la division d'une classe en plusieurs sous-ensem l'association d'élèves qui n'appartiennent pas habituellement à la même classe. Un groupe, en géné 5 ou 6 personnes, qui ont chacune une fonction particulière, complémentaire des autres personnes. regroupements peuvent être homogènes ou hétérogènes, aléatoires ou décidés par l'enseignant. On groupes de niveaux, de besoins, d'affinité, de compétition, etc. Les techniques de groupes d'appren diverses[67] : brain-storming (remue-méninges), panel (discussion), Phillips 6.6. (six personnes, s intergroupes (nouveaux regroupements des membres des équipes précédentes)...
La pédagogie socio-constructiviste (1934) et de la motivation
Le socio-constructivisme repose sur l'idée selon laquelle l'acquisition de connaissances durables es prise en compte du champ social dans laquelle elle est située. Cette théorie a été développée par Lev 1934[68] . Il s'appuyait sur le constructivisme de Piaget, élaboré dès 1923. En un autre sens, toutefoi que Lev Vygotski, par exemple dans Pensée et langage (Chapitres 2 & 4 en particulier) propose une pensée piagétienne. Il cherche à montrer en effet que certaines acquisitions (de façon exemplaire: c résultent du croisement de deux lignes de développement. L'une correspond bien à ce que décrit le développementalisme de Piaget: un individu s'adapte à un changement en s'accommodant à cette n (accommodation) d'une manière qui introduit des différences dans les schémas cognitifs dont il étai porteur (assimilation). La seconde, elle, est de nature différente: elle consiste, selon Lev Vygotski, e positive que des individus plus âgés ou plus expérimentés (aînés, adultes, moniteurs, etc) exercent s cours de formation. Cette seconde voie de l'apprentissage consiste dans les effets des pressions soc extérieures et, par exemple, scolaires, sur le développement individuel.
La motivation à l'acquisition des connaissances est démultipliée par le fait d'avoir à gérer des relatio rapports conflictuels, par exemple, dont la résolution va de pair avec la résolution du problème cogn d'avoir à confronter les points de vue entre deux personnes qui partent de conceptions a priori oppo l'émergence d'un processus de négociation au plan cognitif, mais aussi relationnel, et à l'issue de ce acteurs du conflit s'approprient véritablement une solution élaborée en commun. La motivation soc comme un puissant stimulant de la motivation cognitive. La pédagogie par objectifs (1935) : P.P.O.
Historiquement, cette pédagogie a pour fondateur Ralph Tyler (1935) [69] ,[70] . Sa pédagogie par ob une organisation scientifique et rationnelle de l’éducation. Celle-ci doit adapter l’homme aux besoin société et les traduire en objectifs. Il faut sortir des généralités grandiloquentes et infécondes en ma éducative. Il faut une formulation claire des objectifs pour pouvoir les évaluer et donc pour contrôle Les objectifs doivent être définis en termes de comportements attendus, en termes de réactions ext conscience. Les formulations renvoient à des activités vues du point de vue de l ’élève et non du poin projet de l’enseignant. La formation est d’autant plus efficace si l’on nomme le résultat attendu, si l attend exactement que l’apprenant fasse à l’issue de la formation, dans des termes précis et sous for comportement observable.
Tyler a été suivi par Benjamin Bloom.[71] S’inspirant des travaux de Ralph Tyler, il considérait qu dans l’enseignement était non pas de comparer les résultats des étudiants mais d ’aider ceux-ci à
Pédagogie
9
des programmes qu’ils suivaient. Le fait d’atteindre ces objectifs était le principal. Il fallait axer le p pédagogique sur la conception de tâches permettant de conduire l’étudiant, lentement mais sûrem réalisation des objectifs correspondant à son programme d’études. L’ouvrage de Benjamin Bloom, maîtriser, est un panégyrique d’une telle conception.[72] Robert Mager a codifié la pédagogie par objectifs : Comment définir des objectifs pédagogiques ? (1962), Dunod, coll. "Psycho", 2005.[73] Notons également Daniel Hameline "Les objectifs pédagogiques".
La pédagogie par objectif est implantée dans les entreprise, notons par exemple la PPO à France Té avec Alain Astouric "Réussir vos interventions de formation, Les fondamentaux de la pédagogie des Chronique Sociale. La pédagogie archétypale
L'archetypal pedagogy, ou pédagogie archétypale, est une pédagogie fondée sur la psychologie analytique développée dès 1956 par Carl Gustav Jung (1875 - 1961), à partir de son recueil Psychologie et éducation[74] , qui groupe des articles de 1916 à 1942, et des recherches sur l'application du jungisme à la pédagogie.[75] Ainsi peut-on situer une con-comitance entre les approches de la psychologie analytqiue et un intéret pour l'éducation, chez les jungiens, dans les années 1960. La pédagogie archétypale, sous cette dénomination stricte, a été mise en théorie aux U.S.A. dans les années 2000, par Clifford Mayes, Docteur et Professeur en sciences de l'éducation à la Brigham Young University, pédagogue jungien et chercheur en sciences de l'éducation. Ce n'est qu'en 2007 et 2009 que Clifford Mayes dans Jung And Education: Elements Of An Archetypal Pedagogy, suivant la pensée de Jung [Quoi ?] :
« Notre problème éducatif souffre en somme de ne viser Clifford Mayes unilatéralement que l’enfant qu’il faut élever et de négliger aussi unilatéralement le fait que les éducateurs adultes n’ont pas été eux-mêmes éduqués. Après avo cycle de ses études, chacun a l’impression d’en avoir fini avec l’éducation, d’être, en un mot, un peut certes en être autrement ; il faut qu’il soit fermement persuadé de sa compétence pour po la lutte pour l’existence. Le doute et le sentiment d’incertitude le paralyseraient et l’entraverai enfouiraient la foi si nécessaire en sa propre autorité et le rendraient inapte à l ’exercice de sa p veut l’entendre dire qu’il connaît son affaire et qu’il en est sûr, et non qu’il doute de lui-même et compétence. Le spécialiste est condamné de façon absolue à la compétence. Personne ne peut personnalité » qui n’en a pas lui-même. Et ce n’est pas l’enfant, c’est uniquement l’adulte qui pe la personnalité comme fruit mûr d’une activité de vie orientée vers ce but. Car dans l’accès à la il n’y a rien moins que le déploiement le meilleur possible de la totalité d ’un être unique et part saurait prévoir le nombre infini de conditions qu’il faut remplir pour cela. Toute une vie humain aspects biologique, social et psychique y est nécessaire. La personnalité, c ’est la suprême réal caractéristiques innées de l’être vivant particulier. La personnalité, c’est l’action du plus grand vivre, de l’affirmation absolue de l’existant individuel et de l’adaptation la plus parfaite au donn
avec la plus grande liberté possible de décision personnelle. Elever quelqu ’un en vue de cel pas une petite affaire. C’est sans doute la tâche la plus haute que se soit donnée le monde
Pédagogie
10
»[76] . L'enseignement programmé (Skinner, 1958)
Généralisant à l'apprentissage humain les résultats de ses recherches sur la psychologie animale, B (1904-1990) et le néo-behaviorisme ont été amenés à édifier toute une théorie de l'apprentissage qu directement à la thérapie behaviorale et à l'enseignement programmé où le terme "programme" dés d'activités ordonnancées de façon systématique selon les principes suivants:
1. Un individu apprend, c'est-à-dire modifie son comportement, en observant les conséquences d rétroaction cybernétique.
2. Les conséquences qui renforcent la probabilité de la répétition ou de la suppression d'un ac renforcements. 3. Plus rapidement un renforcement fait suite au comportement recherché, plus il est probable se répétera.
4. Plus un renforcement est fréquent, plus il est probable que l'élève ou le patient répétera l'acte
5. L'absence de renforcement, ou même son éloignement dans le temps, diminue la probab reproduise.
6. Le renforcement intermittent d'un acte allonge la période pendant laquelle l'élève ou le pat tâche sans autre renforcement.
7. Le comportement d'apprentissage d'un élève ou d'un patient peut être “développé” ou “structuré un renforcement “différenciel” , c'est-à-dire en renforçant les comportements que l'on désire voir se renforçant pas les actions que l'on veut éviter ou encore en les renforçant de façon négative par des d'autres punitions.
8. En plus du fait qu'il rend plus probable la répétition d'un acte, le renforcement produit des eff
9. Le comportement d'un élève ou d'un patient peut être amené jusqu'à un grand degré de com son comportement en actes simples, puis en groupant ces derniers en une longue chaîne.
Ce dernier conduit à identifier et à définir le comportement recherché à installer chez l'élève ou le p rendre désirable. C'est la "motivation" dans son expression la plus simple. Ce comportement recher ou “analysé” en fragments de plus en plus menus et de plus en plus simples avec leurs relations qui n toujours évidentes pour l'élève ou le patient, car la progression dans les acquisitions va du plus simp complexe.[78] Un enseignement programmé ou une thérapie behaviorale présente la matière à appr comportement recherché en fragments menus de difficulté progressivement échelonnée de telle so comportement que l'on veut installer soit acquis avec la même sûreté qu'une réponse obtenue par le ("shaping") chez l'animal. L'écart entre les fragments successifs ne doit pas être laissé au hasard, qu car, trop grand ou trop court, il compromettra l'apprentissage.
À travers, donc, la notion d'apprentissage, en tant que processus de changement de comportement, applications pédagogiques et thérapeutiques. Les premières sont formatrices et les secondes sont c des prétendus "troubles de comportement" et autres "retards scolaires" sans autre souci pour le rap "normalité", le contexte social et culturel qui donne sens en tant qu'orientation, pertinence et sig
Au niveau de la technicité, les procédures de l'enseignement programmé et de la thérapie behaviora sans intérêt. Elles ont donné des résultats probants et d'une efficacité indiscutable, mais les théorie souffrent de limitations graves dans l'élémentarisme du court terme et de l'individu en contraste au longue échéance et du milieu de vie. Que l'on songe aux horribles méfaits de la suppression behavio nocturne où la solution est source de problèmes beaucoup plus graves de sentiment d'insécurité, d'a d'angoisse et de la solution behaviorale à l'anorexie qui ne fait que déplacer le moyen d'action sur l'e moyen d'auto-destruction sans s'attaquer aux problèmes de la relation de soi à soi et de celle avec l'e
Pédagogie
11
à la source. Il est de même des succès de l'enseignement programmé qui a fait le choix de remplir de plutôt que d'allumer des lanternes en transformant des illettrés en analphabètes! L ’approche écosy l’antidote de cet élémentarisme. [80]
• Maurice de Montmollin, "L'enseignement programmé", PUF, coll. "Que sais-je?", Paris, 1965. P techniques de programmation, machines à enseigner et applications. La pédagogie documentaire (1958)
La pédagogie du « construire sa connaissance par les documents » vise plusieurs objectifs. Tout d documentaire signifie l’autonomie de l’élève. En effet, l’élève n’attend pas qu’on lui délivre un savoir se l’approprier en cherchant l’information dans des documents, et en la restituant selon ses attentes pédagogie documentaire vise également le développement de l’esprit critique de l’élève car appren documents, c’est apprendre à valider l’information, apprendre à reconnaître la pertinence d’un docu une manne documentaire accrue avec le développement des technologies de l ’information et de la c Enfin la pédagogie documentaire a pour objectif immédiat l’utilisation des outils d’un centre de ress l’élève, puisqu’avant de pouvoir apprendre avec des documents, il faut au préalable maîtriser les ou par exemple le logiciel documentaire d’un établissement scolaire, ou un moteur de recherche sur in pédagogie documentaire vise ainsi l’acquisition d’une méthode de recherche documentaire. La pédagogie explicite (1960)
Les premières formalisations de la pédagogie explicite sont posées par S. Engelmann en 1960 à trav Instruction ; à partir de 1968 (et ce jusqu'en 1995), démarre aux États-Unis le projet Follow Through une étude comparative de grande ampleur de neuf méthodes pédagogiques ; ce programme de rech que le Direct Instruction dépasse en efficacité les huit autres méthodes sur les trois points évalués : base acquises, savoir-faire, estime de soi. En 1976, B. Rosenshine (professeur et chercheur en psych décrit la pédagogie explicite. Les pratiques de la pédagogie explicite continuent d'être étudiées et é l'équipe de C. Gauthier (Université de Laval, Québec). In fine, les principes de la pédagogie explicit d'observations empiriques et d'études scientifiques issues d'études longitudinales et de méta-analy ampleur.
Les procédés utilisés dans le cadre d'une pédagogie explicite permettent en premier lieu de mettre du dispositif de transmission des connaissances et des savoir-faire[81] ; en d'autres termes, ces proc pas à mettre l'enfant au centre du dispositif, comme c'est le cas dans les pédagogies constructiviste l'enseignant au centre, comme c'est généralement le cas dans les pédagogies traditionnelles.
En second lieu, la pédagogie explicite préconise la mise en œuvre de progressions précises et rig toujours des notions les plus simples en allant vers les plus complexes.
En troisième lieu, cette pédagogie met en place une structure de leçons identiques, qui part d'un rap d'une courte phase de présentation la notion et des objectifs attendus en fin de séance, suivie par un pratique guidée, puis d'un temps de pratique autonome, enfin d'un bilan et d'un rappel des acquis ; e révisions régulières et des évaluations viennent clore ce processus et permettre un maintien en mém terme[82] . Enfin, l'objectif des leçons est de permettre la compréhension des notions abordées : au s pédagogie explicite, la compréhension est considérée comme étant l'intégration de nouvelles conna mise en réseau avec celles déjà en mémoire à long terme afin qu'elles soient disponibles à tout m
Pédagogie
12
La pédagogie institutionnelle (1963)
Dérivée de la pédagogie de Freinet, fondée par Fernand Oury en 1963, par dissidence, la pédag se veut politique et psychanalytique (ou psychosociologique). La pédagogie différenciée (1963)
La recommandation de différencier ses enseignements remonte haut, surtout à Alexandre Carroll, " technico-pédagogique", en 1963 aux U.S.A. Mais la terminologie et la volonté politique s'affichent e en 1973, avec Louis Legrand, qui essaie de la faire appliquer dans le secondaire en 1983. Il a publié différenciation pédagogique, Paris, Scarabée, CEMEA, 1986, Les différenciations de la pédagogie, Par 1995.
"Le gros problème est de traiter dans un même établissement des élèves différents. On ne peut d'une façon commune à tous les élèves, même si on souhaite les scolariser ensemble pour leur f civique et morale. C'est dans ce sens que l'on a travaillé sur la pédagogie différenciée, en s'insp de la pédagogie de maîtrise issue des États-Unis, qui consiste, à partir de programmes identiqu élèves en fonction de leurs besoins."[83]
La pédagogie différenciée part du constat que dans une classe, un professeur doit enseigner à des élèv étudiants ayant des capacités et des modes d'apprentissages très différents. Elle tente de donner un hétérogénéité des classes par des pratiques adaptant à chaque élève les programmes d'études, l'en milieu scolaire. Bien souvent, l'enseignant ne va plus être le centre de la classe mais va mettre l'enfa comme intérêt central. La pédagogie par résolution de problèmes (1969) : P.R.S.
Historiquement l'apprentissage par problèmes (APP) (en anglais problem-based learning)[84] est in la MacMaster University. Les apprenants, regroupés par équipes, travaillent ensemble à résoudre u généralement proposé par l'enseignant, problème pour lequel ils n'ont reçu aucune formation parti faire des apprentissages de contenu et à développer des compétences de résolution de problèmes. L l'équipe est habituellement d'expliquer les phénomènes sous-jacents au problème et de tenter de le processus non linéaire. La démarche est guidée par l'enseignant qui joue un rôle de facilitateur o
Internet
De nombreux sites d'aide aux élèves en difficultés ou handicapés se sont créés ; certains fou particuliers , d'autres des cours sur CD-ROM
Liste des grands pédagogues (Occident) • • • • • • • • • • •
Platon (-427 / -346) ; Jean-Louis Vivès (1492-1540) ; les jésuites (1548) ; Jan Amos Komenský - Comenius (1592-1670) ; John Locke (1632-1704) ; Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) ; Condorcet (1743-1794) ; Johann Heinrich Pestalozzi (1746-1827) ; Robert Owen (1771-1858) ; Friedrich Fröbel (1782-1852) ; Léon Tolstoï (1828-1910) ;
Pédagogie • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •
Georg Kerschensteiner (1854-1932) ; Francisco Ferrer (1859-1909) ; John Dewey (1859-1952) ; Rudolf Steiner (1861-1925) ; Maria Montessori (1870-1952) ; Ovide Decroly (1871-1932) ; Paul Langevin(1872-1946); Édouard Claparède (1873-1940) ; Janusz Korczak (1878-1942) ; Henri Wallon(1879-1962); Adolphe Ferrière (1879-1960) ; Roger Cousinet (1881-1973) ; Alexander Sutherland Neill (1883-1973) ; Anton Makarenko (1888-1939) ; Célestin Freinet (1896-1966) ; Carl Rogers (1902-1987) . Gaston Mialaret ; Robert Gloton (1906-1986) ; Fernand Oury (1920-1998) Andras Petö (1893-1961) Philippe Meirieu (né en 1949). Jean Zay (pédagogue français) Paul Lafargue (pédagogue français) Bakounine (pédagogues français) Emmi Pikler (1902-1984)
Voir aussi • • • • • • • • • • • • • • •
Chronobiologie Docimologie Effet Pygmalion Enseignement Ingénierie pédagogique Pédagogie active Pédagogie de projet Pédagogie différenciée Pédagogie Freinet Pédagogie institutionnelle Pédagogie Montessori Pédagogie Steiner-Waldorf Pédagogie traditionnelle Psychopédagogie Pédagogie explicite
13
Pédagogie
14
Méthodes
• • • • • • •
Chiche..! Apprentissage Collaboratif Coaching pédagogique École mutuelle E-learning Expérimentation Assistée par Ordinateur (ExAO) Enseignement mutuel (Lernen durch Lehren - LdL)
• • • •
Méthodes en pédagogie active Méthode d'apprentissage cognitif La théorie des singes La méthode des cas
Sur la déscolarisation
• Catherine Baker • Unschooling L'enseignement des adultes
• • • • •
Andragogie Autoformation Coaching Formation Vulgarisation
Bibliographie • • • • • •
Jean Château (dir.), Les grands pédagogues, PUF, 1956, 363 p. Jean Houssaye (dir.), Premiers pédagogues. De l'Antiquité à la Renaissance, ESF, 2002, 439 p. Franc Morandi et René La Borderie, Dictionnaire de pédagogie, Nathan, coll. Éducation en poc Françoise RAYNAL, Alain RIEUNIER, Pédagogie. Dictionnaire des concepts clés, ESF, 2007. Nathalie Bulle, L'école et son double. Essai sur l'évolution pédagogique en France , Éditions He Alain Astouric, "Réussir vos interventions de formation", Chronique Sociale, 2007 * * http:/ / ww livres/ Reussir-vos-interventions-de-formation. aspx/ 9782850086502 • Enseigner à l'université dans une approche-programme. Richard Prégent, Huguette Bernard, Anastassis Kozanitis, Presses internationales Polytechnique, 2009. [85]
Pédagogie
15
Liens externes • Catégorie Pédagogie [86]de l’annuaire dmoz
Références
[1] Platon, Lysis, 233 ; La République, VI, 491e. Plutarque, De l'éducation des enfants, 4 A et 12 A. Henri-Irénée Marrou, Histoire de l'éduca dans l'Antiquité, t. I : Le monde grec (1948), Seuil, coll. "Points Histoire", 1981, p. 217. [2] http:/ / ispef. univ-lyon2. fr/ IMG/ pdf/ Dossier_No2_-_Suite. pdf [3] référence, citation ou lien [4] Franc Morandi, Pratiques et logiques en pédagogie, Nathan Université, 2002, p. 5. [5] L. Arénilla et al., Dictionnaire de pédagogie, Bordas, 1996, p. 77. [6] Michel Develay, "Didactique et pédagogie", in Jean-Claude Ruano-Borbalan, Éduquer et Former, Éditions Sciences hu [7] Marguerite Altet, Les pédagogies de l'apprentissage, PUF, 1997, p. 11. [8] Claude Bernard, Introduction à l'étude de la médecine expérimentale (1865). [9] Edgar Morin, La méthode (1977 ss.), Seuil, 4 t. [10] Joël de Rosnay, La macroscope (1975), Seuil. Georges Lerbet, Pédagogie et systémique, PUF, coll. "Pédagogues et p [11] Christiane Montandon, Approches sytémiques des dispositifs pédagogiques, L'Harmattan, coll. "Savoir et formation [12] J. Leif et A. Biancheri, Philosophie de l'éducation, t. III : Les doctrines pédagogiques par les textes, Paris, Delagrave Houssaye (dir.), Premiers pédagogues. De l'Antiquité à la Renaissance, Issy-les-Moulineaux, ESF, coll. "Pédagogies", 2002, 438 p. Jean Houssaye (dir), Nouveaux pédagogues, t. I : Pédagogues de la modernité. XVIIIe-XIXe-XXe siècles, Fabert, 2007, 2 t. [13] "L'histoire des doctrines pédagogiques" (http:/ / www. meirieu. com/ COURS/ listedescours. htm) selon Philippe Meirieu [14] Jean-Jacques Rousseau, Èmile ou De l'éducation (1762), Gallimard, coll. "Folio essais", 1969, 1141. P. 788 : "J'appelle éd celle qui tend à perfectionner les organes, instruments de nos connaissances, avent de nous donner ces connaissances l'apparition de la raison" (Lettre à Christophe de Beaumont. [15] Carl Rogers, Liberté pour apprendre (1969), trad., Dunod, 1972. [16] "Méthode pédagogique" selon Philippe Meirieu (http:/ / www. meirieu. com/ DICTIONNAIRE/ methodepedagogique. htm [17] Les cahiers pédagogiques, numéro spécial : "Différencier la pédagogie", 1988. [18] Robert W. Lawler, Artificial Intelligence and Education, vol. I, Norwood, Ablex Publising, 1987, p. 1-26. Cynthia Solomon, Compu Environments for Children, Cambridge, MIT Press, 1987. F. Demaizière, L'Enseignement assisté par ordinateur, Ophrys, 1991. [19] Franc Morandi, Modèles et méthodes en pédagogie, Nathan, coll. "Éducation en poche", 2005. [20] "Modèles pédagogiques et modèles éducationnels" (http:/ / cueep. univ-lille1. fr/ pedagogie/ module2-1. htm) selon le C Université-Économie d'Éducation Permanente. [21] Jean-Pierre Astolfi, L'école pour apprendre, ESF, Paris, 1992. [22] "Les modèles pédagogiques" (http:/ / agora. qc. ca/ thematiques/ rousseau. nsf/ Dossiers/ Education) selon Labédie et Am [23] René La Borderie, Lexique de l'éducation, Nathan Université, 1998, p.77. [24] Langevin et Wallon, "Projet soumis à M. le ministre de l'Éducation nationale..." (1944) : "Réforme de l'enseignement Langevin-Wallon", L'enseignement public, juin 1963. [25] Marie-Thérèse Chaduc et al., Les grandes notions de pédagogie, Colin et Bordas, 1999. Françoise Raynal, Alain Rieunier, Pédag Dictionnaire des concepts clés, ESF, 2007. [26] La métacognition est "la connaissance qu'un sujet a de son propre fonctionnement cognitif" (J. H. Flavel, 1976). [27] Jean Houssaye, Les pratiques pédagogiques, Berne, Peter Lang, 1988. Franc Morandi, Pratiques et logiques en pédagogie, Nathan, col "Éducation en poche"? 2005. [28] Jerome Bruner, A Study in Thinking, 1956. [29] Marguerite Altet, "Styles d'enseignement, styles pédagogiques", in Jean Houssaye (dir)., La pédagogie. Une encyclopédie pour ESF, 1993, p. 98. [30] Yves Bertrand, Théories contemporaines de l'éducation, Chronique sociale (Lyon) et Éditions nouvelles (Montréal), 1 [31] Jean Piaget, La naissance de l'intelligence chez l'enfant, Paris, Delachaux et Niestlé, 1936 ; La construction du réel Delachaux et Niestlé, 1937. [32] Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron, La répétition. Éléments pour une théorie du système d'enseignement, Minuit, 1970. En particu sur la violence symbolique. [33] Robert Mills Gagné, The Conditions of Learning and Theory of Instruction (1965), New York, 5° éd. 1985. [34] http:/ / wwwens. uqac. ca/ ~pminier/ act1/ cognit. htm [35] J. Houssaye (dir.), Les premiers pédagogues, ISF, p. 273-295 : "Ignace de Loyola", par Bruno Poucet. Ratio studiorum [1599]. Plan raisonné et institutions des études dans la Compagnie de Jésus, Belin, coll. "Histoire de l'éducation", 1997 [36] Comenius, La Grande Didactique. Traité universel d'enseigner tout à tous (1657), trad., Klincksieck, coll. "Philosophie de l'éducation", 2002, 284 p. [37] Pestalozzi, Comment Gertrude instruit ses enfants (1803), trad., Éditions de la Thièle, Yverdon-les-Bains, 1985. [38] Le Monde de l'Éducation, n° 360 : "Une Autre École", Juillet-Août 2007.
Pédagogie
16
[39] Roger Cousinet, Une méthode de travail libre par groupes, 1943. [40] Marguerite Altet, Les pédagogies de l'apprentissage, PUF, 1997, p. 5-7, 17-21. [41] Alain, Propos sur l'éducation (1932), PUF, 1948. [42] John Dewey, Mon crédo pédagogique (1897), trad. in Tsuin-Chen, La doctrine pédagogique de John Dewey, Vrin, 1958 ; L'école et l'enfant (1913), trad., Fabert, coll. "Pédagogues du mond eentier", 2004 ; Expérience et éducation (1938), trad., Armand Colin, [43] Adolphe Ferrière, L'école active (1922), Fabert, coll. "Pédagogues du monde entier", 2004. [44] Ovide Decroly, Vers l'école nouvelle, 1921. Decroly a traduit Dewey. [45] Roger Cousinet, L'éducation nouvelle, Delachaux et Niestlé, 1968. [46] Aïda Vasquez et Fernand Oury, Vers la pédagogie institutionnelle, Paris, Maspero, 1966. [47] Georges Snyders, École, classe et lutte des classes, PUF, 1976. [48] Jean Houssaye (dir.), Premier pédagogues : de l'Antiquité à la Renaissance, ESF, 2002, p. 368. [49] Comenius, La Grande Didactique. Traité universel d'enseigner tout à tous (1657), trad., Klincksieck, coll. "Philosoph 2002, 284 p. [50] "La pédagogie négative de Rousseau" (http:/ / agora. qc. ca/ thematiques/ rousseau. nsf/ Dossiers/ Education) selon Gér [51] Rousseau, Émile (1762), coll. "Folio", 1969, 1139 p. [52] Jean-Jacques Rousseau, Considérations sur le gouvernement de Pologne, in Oeuvres, Gallimard, coll. "Pléiade", t. III, p [53] Socrate, Ménon, 79-86 ; Théétète, 148-151. [54] Montaigne, Les Essais (1580-1595), I, chap. 25 : "De l'institution des enfants". [55] J.R. Schmid, Le maître-camarade et la pédagogie libertaire (1936), Paris, Maspero, 1971. [56] Alexander Neill, Libres enfants de Summerhill (The Free Childs, 1953), trad., Maspero, 1970. [57] Carl Rogers, Liberté pour apprendre (1969), trad., Dunod, 1972. [58] Maria Montessori, La pédagogie scientifique (1909), trad., Desclée de Brouwer, coll. "Psychologie", 2004, 2 t. [59] Anton Makarenko, Oeuvres choisies, Éditions du progrès. Poème pédagogique (1935), trad. an. : The Road to Life. An Moscou, 1951. [60] William H. Kilpatrick, "The Project Method", dans la revue Teachers College Record, 1918. [61] (Michel Huber, 1984) [62] Jean Piaget, Psychologie et épistémologie, Paris, Denoël, 1970, p. 85. [63] Célestin Freinet, "L'imprimerie à l'école" (1927), in Élise Freinet, Naissance d'une pédagogie populaire (1949), Paris, Maspero, 87-90. [64] Célestin Freinet, Essai de psychologie sensible (1950), in Oeuvres pédagogiques, Seuil, t. I, 1994. [65] Roger Cousinet, Une méthode de travail libre par groupes (1943), Le Cerf, 1967, 139 p. L. Raillon, Roger Cousinet, liberté, Armand Colin, 1990. [66] Kurt Lewin, R. Lippit, et R. K. White, "Patterns of aggressive behavior in experimentally created social climates", Psychology, 10, 1939, p. 271-301. [67] Michel Barlow, Le travail en groupe des élèves, Armand Colin, coll. "Formation des enseignants", 1993, 111 p. [68] Lev Vygotski, Langage et pensée (1934), trad., La Dispute, 1998. [69] Ralph Tyler, Statistical Methods for Utilizing Personal Judgements to Evaluate Activities for Teacher-Training Curricula , 1935. [70] "La pédagogie par objectifs (http:/ / cueep. univ-lille1. fr/ pedagogie/ module4-1. htm) selon le Centre Université-Écono Permanente. [71] Benjamin Bloom, Taxonomie des objectifs pédagogiques (Taxonomy of Educational Objectives, 1956), vol. 1 : Domaine cognitif, Presses de l’Université du Québec, 1975. [72] Benjamin Bloom, Apprendre pour maîtriser, trad., Payot, 1979. [73] "L'objectif pédagogique" (http:/ / parcours-diversifies. scola. ac-paris. fr/ manuel/ definirunobjectif/ cadre. htm) selon Ro P.P.O. [74] Carl Gustav Jung, Psychologie et éducation, trad., Buchet-Chastel, 1963. [75] James L. Henderson, Jung's analytical psychology and its significance for education in the light of recent literature Ed. Pringer Netherlands, in International Review of Education/Internationale Zeitschrift für Erziehungswissenschaft/Revue internationale l'éducation, Volume 2, Number 3 / septembre 1956. [76] C.G.Jung, Psychologie et éducation (1916-1942), trad., Buchet-Chastel, Paris 1963. [77] http:/ / pagesperso-orange. fr/ joseph. rezeau/ recherche/ theseNet/ theseNet-3_-2. html [78] Edusud, ressources (http:/ / web. archive. org/ web/ 20041224212330/ http:/ / www. edusud. org/ ressources/ ntic/ esm/ 1. archivée par Internet Archive) [79] TECHNOLOGIE ÉDUCATIVE (http:/ / www. ulaval. ca/ sg/ PR/ C2/ 567A. html) [80] L'approche systémique et la technologie de l'éducation, par Jacques Lapointe (http:/ / www. sites. fse. ulaval. ca/ revedu apsyst. html) [81] Comme le déclarent Bernard et Françoise Appy, membres fondateurs de l'association "La 3e voie..." « Pour simplifie contenu au centre de notre enseignement quand les constructivistes y placent l'enfant » ( in Le Monde de l'éducation n° 75, m [82] « Entre les pédagos et les trados, des instits inventifs», Marianne n° 61, 14-20 juin 2008
Pédagogie
17
[83] Louis Legrand, Des différences à la différenciation pédagogique, in Jean-Claude Ruano-Borbalan, Éduquer et Former, Éditions Sciences humaines, 1998, p. 123. [84] "L'apprentissage par résolution d eproblèmes" selon Marcel Lebrun (http:/ / www. ipm. ucl. ac. be/ Marcell/ TECHPED/ M [85] http:/ / www. polymtl. ca/ pub/ doc. php?id=7877& l=fre/ [86] http:/ / www. dmoz. org/ / World/ Français/ Formation/ Pédagogie/
Sources et contributeurs de l'article
18
Sources et contributeurs de l'article Pédagogie
Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?oldid=54434232 Contributeurs: AMISUR, Abbatistephanie, Africtice, Alno, Angeldream, Angenina, Apollonius, Ariel, A Bapti, BenoitLapointe, Bleo, Caillault, Cdang, Cercamon, Chantale, Chaoborus, Christine.sae, Dalcroze, Darkoneko, DelphineTLD, Dhatier, DocteurCosmos, Dodoïste Durkheim, Ehl'léon, Escaladix, Fabwash, Ficelle, Fluti, Frachet, Fred.th, Gem, Greudin, Heinrich, Herr Satz, Heurtelions, Hevydevy81, Howard Drake, Huronoi, Hégé Island, Iznogood, Jcbeau, Jean-0257, Jean-no, Jeanmichel, Jeanpol, Jef-Infojef, Jerome66, Jidayz, Jl.c, Jyp, Jérome Bru, Kasos, Kelson, Kezia1, Koyuki, LT-P, Leparc, Libre Lolostq, Looxix, MagnetiK, MarcAugier, Med, Mica, Moosh, Muselaar, Narlou, Nathalie37, NicoRay, Nicolas Ray, O. Morand, Ofol, Ollamh, Orphée, Orthogaffe, Outis, Patrice Létourneau, Pedagoone, Phe, Phido, PlexusSolaris, Pok148, Prosope, Prosopee, R, Remybaudouin, Romary, Ryo, Sam Hocevar, Schekinov Alexey Victorovich, S Spacemanager, Spadassin, Spooky, Stanlekub, Szdavid, Takima, Tella, TheVegaWarrior, Thielleux, TigH, Turb, Valérie75, Vargenau, Vincent Marcillaud, Vincent.Mar, Dark, Woww, Wuyouyuan, Xic667, Yamé, ZeroJanvier, Zetud, 179 modifications anonymes
Source des images, licences et contributeurs File:Bundesarchiv B 145 Bild-F079064-0006, Bonn, Gymnasium.jpg
Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Fichier:Bundesarchiv_B_145_Bild-F079064-0006,_Bonn,_Gymnasium.jpg Licence: Public Domain Contributeurs: AndreasPraef Kingturtle, LtPowers, Mattes Image:Montessori Kugeln.JPG Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Fichier:Montessori_Kugeln.JPG Licence: GNU Free Documentation License Contributeurs Poupou l'quourouce, Ranveig, WikipediaMaster Image:Trier-germany-waldorfschule.jpg Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Fichier:Trier-germany-waldorfschule.jpg Licence: GNU Free Documentation License Contributeurs: HelgeRieder, Marku1988, Mica, 2 modifications anonymes Fichier:Clifford Mayes.jpg Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Fichier:Clifford_Mayes.jpg Licence: Attribution Contributeurs: Platonides, Prosopee, 2 modificatio
Licence Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported http:/ / creativecommons. org/ licenses/ by-sa/ 3. 0/